Lors de la deuxième séance de négociation sur les retraites, la CFE-CGC a réaffirmé ses préoccupations face à l’allongement de la durée de cotisation. Pour Christelle Thieffinne, secrétaire nationale CFE-CGC à la protection sociale et cheffe de file de la négociation, cette mesure creuse les inégalités, notamment en raison de la pénibilité et de l’incapacité de certains travailleurs à poursuivre leur carrière.

La CFE-CGC pointe également du doigt le coût réel de la réforme de 2023, jugé supérieur aux bénéfices attendus. Enfin, elle remet en question l’idée d’un allongement automatique de la durée de travail, alors que les projections de l’Insee montrent un ralentissement de la progression de l’espérance de vie.

Prochaine étape des discussions le 13 mars : l’emploi des seniors et les carrières longues, un enjeu clé pour garantir un système juste et équilibré.

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